Compté d'Asbrourg

Le son horrible cessa soudainement, mais je gardais les yeux fermés.
La joli femme me présenta ses excuses. Je ne savais pas comment réagir.
Sans que je lui demande, elle me pris dans ses bras et s'envola je-ne-sais-où.
Voulait-elle me faire du mal? J'était trop faible pour l'instant pour pouvoir me défendre. De toute façon, nous étions trop haut. Si elle m'échappais, je me briserais les os.

Elle me demanda mon nom. Devais-je lui dire? Elle m'avais sauvée, mais je la connaissais à peine...
Je pris ma voix la plus sérieuse (ce qui était difficile dans ce corps) et lui répondit.
-Je me nomme Emeline. Et vous?

Mon cri déséspérer ne me sauva pas, elle fit une note extrèmement aïgue, qui me pulvérisa les tympans, je saignais des oreilles et j'était complétement sourt.le sang me dégoulinait dans le cou.Mais je n'entendait plus la note, je n'entendait plus rien, la douleur m'avait rendu aveugle et je tombait par terre et m'évanouissait pour atteindre un calme relatif.
Quand je me reveillait, je n'entendait toujours rien, j'essayai de me déplacé sous le regard curieux des passant, je me sentait très bête, je n'avait jamais entendu le son d'une flute.Les deux personnes était partit de mon champ de vision, mais ça ne voulait rien dire, elle étaient peu être toujours là, en effet j'ai pas une très bonne vu et je m'appuie plutot sur mon ouïe, qui pour l'instant était en compote. Je jettait des regard paniqué sur l'assistance en me sentant très faible et encore plus petit que d'habitude, je résolu de me mettre en boule dans un coin en attendant que ma surdité passe, si elle passait.

Je me relevait, toujours sourd, mais je ne pouvais résté la éternelement.Je marchait en trébuchant partout, j'ai faillit me faire écraser, comme je n'entendait pas les charettes arriver.C'est là que je me suis aperçue qu'on avait plus conscience des trucs important quand on les avait perdue.Je tombait sue une femme, ma fois assez belle, avec une ombrelle, mais là j'était occupé à autres chose, je hurlant en essayant d'entendre le son de ma voix :
-AIDES MOI CONNNASSE!!!
Bon ok insulter pour que les gens nous aides, ça a jamais marcher...

Je volais au dessus d'Asbrourg quand je compris.

Les humains qui avaient attaqué l'archange étaiernt de retour. Tous armés d'un arc à flèches, ils ont lancé une pluie de flèches meurtrière.

Je fus touché. Quelque secondes plus tard, je m'effondrais.

J'étais mort.

MORT.

-Bon travail, lançai-je à l'endroit de mes soldats. L'Ange était une menace, n'ayez pas sa mort sur la conscience! Je dois vous laisser maintenant, j'ai à faire à Lyfae.

Ces abrutis avaient anéantis un des Anges les plus puissants du royaume pour une bouchée de pain! Quels idiots!
Je ramassai les vêtements de l'Ange et je me dirigeai vers Lyfae.

Il y avait beaucoup trop de soleil à mon goût. J’avais mal à la tête, ma vue se faisait mon forte, les rayons lumineux m’aveuglaient de plus en plus. Si je n’avais pas eu mon ombrelle, je me serais probablement évanouie depuis longtemps. Par contre, il ne faisait pas trop chaud, nous étions en automne après tout.

Après une quinzaine de minutes de marche, je me retrouvai à nouveau dans la rue où j’étais passé un peu plus tôt. Les gens s’étaient enfin dispersés, il y avait moins d’agitation. C’est alors qu’une personne (je ne pus déterminé si c’était un garçon ou une fille) me tomba littéralement dessus et se mit à gueuler comme un âne, me faisant perdre mon ombrelle. Je me dépêchai de me relever, saisissant ma protection du soleil. Un frisson parcoura alors ma nuque. Cette chose, disons que c’était une personne de sexe masculin, avait quelque chose d’anormal. C’était un loup. Je pouvais le sentir. « Aide-moi connasse! » hurla-t-il.

Je ne pris même pas la peine de lui répondre, parti le plus rapidement que possible. Je ne désirais rester plus longtemps avec cette homme-bête. S’il avait ressenti que j’étais un vampire? Il pourrait bien essayer de me tuer.

Je décidai donc de partir en direction de Lyfae. Mes moyens me le permettaient, à présent. Je n’avais qu’à prendre une ou deux calèche et marcher un peu, et je serais arrivée là-bas une trentaine de minutes plus tard.

En me jettant dans les bras de la dame, je n'espérait pas grand chose.Tout au plus un coup de pied bien placé.Non, je me suis juste fait virer sans ménagement, mais à son contact je ressentait quelque chose, elle n'était pas humaine, et elle était froide comme la mort, pendant qu'elle partait je la regardait fixement, c'était une morte qui marchait, avec une ombrelle pour se protégé du soleil, ave une grace irréel.Elle avait de très jolie ongles translucides.Je montrait les dents, démasqué la vampire!!
Je résolut de la suivre, l'instinct ça trompe rarement, et les vampires, ça se tue, c'est bien connu.Donc j'allait très connement la suivre parce qu'un putain de vieille instinct inutile me le disait.En plus j'était sourd comme un pot.